L’asbl Garance, active depuis plus de vingt ans dans la prévention des violences basées sur le genre, s’est posé la question de l’efficacité de la répression. Bien sûr, comme les autres féministes, ses travailleuses et militantes dénoncent la trop longue invisibilisation de ces violences, des manquements dans la prise en charge des victimes comme des agresseurs. Pour ne prendre que l’exemple des violences sexuelles, 70% des plaintes sont classées sans suite, et même 53% des plaintes pour viol, alors que ces plaintes ne représentent déjà qu’une petite...
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